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EXEMPLES DE QUESTIONS

entre courrier du cul et coaching plaisir

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JE SUIS UNE FEMME HEUREUSE EN COUPLE MAIS JE N'ATTEINS JAMAIS L'ORGASME... ET POURTANT JE PRENDS DU PLAISIR. 

Déjà, l'orgasme n'est pas un but en soi - même si on nous montre dans les films des rapports hétéros avec pénétration, où les partenaires jouissent en même temps, dans la vraie vie, c'est autre chose.
Se débarrasser de la pression d'atteindre l'orgasme à tout prix constitue la première étape pour réussir à s'abandonner, à lâcher prise.
Ensuite, est-ce qu'on ose en parler à son/sa partenaire? Simuler pendant les rapports risque de l'éconduire... Alors, oser en parler, oser guider l'autre, oser dire aussi : je n'ai pas envie ce soir, placer le curseur de sa libido selon ses émotions du moment... permet d'accéder à la sincérité, d'envoyer des signaux justes, pour que l'autre puisse explorer notre corps. Enfin, se masturber, essayer des techniques différentes, faire marcher ses fantasmes, ... tout cela est un chemin, tout à fait gratifiant si on s'y engage!

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EST-CE QUE JE SUIS ACCRO AU SEXE? JE MULTIPLIE LES PARTENAIRES SUR LES APPLIS DE RENCONTRE ET JE N'ARRIVE PAS À M'ARRÊTER. J'AI PEUR DE NE PLUS POUVOIR ÊTRE EN COUPLE UN JOUR.

Avoir des phases où on expérimente nos fantasmes, nos envies, notre besoin d'être rassuré-e (c'est flatteur aussi d'avoir plein de sex-friends!) est tout à fait normal. D'autant qu'avec les sites de rencontre aujourd'hui rien n'est plus facile. Et puis... Il y a un jour où on se lasse, où on préfère aller se faire un ciné, un jour où on rencontre quelqu'un qui compte vraiment. Alors autant profiter de ces phases, tant que cela nous convient - c'est le moment où c'est compulsif, où ça n'apporte plus de joie, qu'il est bon de s'arrêter. Et puis, avec toutes les possibilités de couple libre, on sait bien que la monogamie n'est pas obligatoire si on a pas envie...

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JE SUIS SOUMISE AU LIT, ET FÉMINISTE DANS LA VIE... C'EST PAS UN PEU CONTRADICTOIRE?

Le jour où la proportion d'hommes soumis sera équivalente à celle des femmes, on pourra se dire qu'être soumise relève d'un choix propre et non d'une culture pornographique qui mêle pénétration et domination.
Sauf que... notre libido n'a que faire des statistiques.
Et puis, si on place nous même notre cadre (limites à ne pas dépasser, fantasmes à réaliser) alors, finalement, c'est nous qui décidons. Voire, c'est la personne "dominante" qui peut être considérée comme au service du plaisir de l'autre. 
Le tout est d'expérimenter dans un espace bienveillant, et pas avec n'importe qui, surtout si on débute.

Exemples de questions: Services
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